Compte-rendu de réunion à la Mairie de proximité

Date publication :mercredi 5 mai 2004


Compte-rendu de réunion à la Mairie de proximité, 5 mai 2004

Objet : projet de Maison des associations

(Secrétariat CILS, 27 mai 2004)

Après un exposé sur les différentes composantes du projet par le concepteur de l’organigramme fonctionnel (1. Accueil, services, 2. Gestionnaire, 3. Locaux banalisés, 4. Locaux spécialisés ou dédiés), les différents volets du projet sont abordés sur la base d’une réponse à la note CILS du 1er avril « Remarques sur le projet de Maison des Associations ». La question de la gestion du lieu n’est évoquée que pour conclure que ce n’est pas l’objet de la réunion et qu’en tout état de cause, M. Languerre ne dispose pas d’informations particulières sur ce point.

Organigramme fonctionnel

Le document distribué antérieurement n’est pas un plan, mais un organigramme fonctionnel, pouvant correspondre à des espaces étalés sur deux ou trois niveaux. Nous reprenons le découpage par types de locaux retenu dans cet organigramme.

Accueil, services

Les différents services sont de fait liés à l’accueil. Les services multimédia comportent à la une composante bureautique et une composante messagerie et internet. Ces services sont distincts de l’Espace multimédia (type cyberespace Savoie : 15-20 postes) et de l’atelier multimédia pour la pratique multimédia. La reprographie pourra être rapprochée des services multimédia. L’espace « boîtes aux lettres » est prévu pour 60 boîtes ou plus.

La question du foyer pour les jeunes alimente à nouveau une discussion nourrie. Un consensus se dégage pour ne pas isoler les jeunes (16-25 ans ?) du reste de la vie associative et faire en sorte que l’ensemble des espaces soient accessibles à tous, y compris les jeunes, sans espace dédié spécifique. La question de lieux d’accueil pour les jeunes de La Source (normaux du secteur marchand, municipaux ou autres) est soulignée une nouvelle fois et déborde largement la seule Maison des Associations. Pour le concepteur responsable, la question se pose d’ailleurs en termes de locaux encadrés ou pas, et pas spécifiquement de locaux pour les jeunes.

La kitchenette, qui peut fort bien se présenter comme un espace ouvert, à l’américaine, doit contribuer à la convivialité de fonctionnement du salon. Mais il n’est pas question d’installer une cafétéria.

Plutôt qu’un lieu d’exposition unique, il est proposé que, selon le cas, on puisse exposer au salon (éventuellement en déployant un paravent style salle Pellicer), dans une salle de réunion, un couloir ou un atelier. A fréquence des expositions est un critère essentiel à prendre en compte. Même si l’inconvénient d’une exposition coupée en deux par un passage central, comme à la maison de la rue Sainte-Catherine, est reconnu, certains ne voient pas d’inconvénient à ce qu’on traverse des espaces exposés pour accéder à des services ou des ateliers.

Gestionnaire

Pas de commentaires particuliers : bureau, entretien, poubelles.

Locaux banalisés

De la discussion sur la salle de conférences émerge un consensus pour qu’il y ait des gradins, même si le coût est nettement plus élevé que pour une salle plane. Le nombre de salles de réunion (une grande, trois moyennes et cinq petites) est peut-être excessif. Il est possible qu’en fonction de la demande une ou plusieurs soient reconverties en bureaux.

L’office pourra être ouvert sur les salles (la grande et la première moyenne par exemple) pour faciliter la convivialité. Comme pour la kitchenette avec le salon, la question a été abordée à propos du besoin d’un fonctionnement convivial évoqué dans la note du CILS.

Les rangements, casiers, sanitaires (trois groupes) sont considérés comme suffisants.

Locaux spécialisés ou dédiés

Antérieurement, on évoquait le chiffre de six associations, demandant un local pour résidence permanente. Lors de la réunion, PES a confirmé sa demande d’un tel local, et il semble que l’on s’achemine vers neuf locaux dédiés de ce type. Pour la Semdo, les associations résidentes devront contribuer à l’animation du lieu.

En ce qui concerne les salles d’atelier et autres espaces dédiés (multimédia, photo...), il est confirmé qu’on ne souhaite pas empiéter sur les activités de l’Aselqo (par exemple) mais travailler en complémentarité. Ainsi, même si des ateliers de danse peuvent se dérouler à l’Aselqo, il n’est pas exclu que des entraînements puissent se faire dans les locaux de la Maison des associations.

Conclusions

La note du CILS a eu le mérite de provoquer une discussion et une rencontre sur de nombreux aspects de la Maison des associations et de permettre à l’équipe ayant conçu le plan de fonctionnement d’apporter des précisions sur l’ensemble des espaces envisagés. La rédaction d’une notice explicative du projet est prévue ; une telle notice, même provisoire, a certainement manqué jusqu’ici pour faciliter le débat.

Il est par ailleurs retenu que la Maison ne doit pas correspondre à un assemblage figé une fois pour toutes, mais qu’elle permette des évolutions en fonction des besoins à venir.

Documents joints